1. Des ressources pour le dopage
L’utilisation de la drogue dans le sport est conditionnée. Lorsqu’un athlète a des besoins médicaux et a besoin de médicaments pour maintenir sa santé, il peut utiliser des produits autrement illégaux dans le sport. Par exemple, dans le cas de l’asthme, un athlète peut demander l’autorisation, nommée une AUT (Autorisations d’Usages Thérapeutiques), pour pouvoir utiliser des substances avec un but thérapeutique.
Les AUT sont un des nombreux moyens que les athlètes utilisent pour se doper d’une manière plus ou moins «légale». Cependant, les AUT permettent l’utilisation de ces produits seulement pour des raisons thérapeutiques. Dans le cas du cyclisme, un grand nombre d'athlètes ont fait des AUT, en demandant la permission d'utiliser les inhalateurs qui seraient autrement interdits. Cette idée de restriction des produits dopants est souvent utilisée comme seule manière de lutter contre les produits dopants. Mais, comment peut-on différencier les athlètes qui sont véritablement affectés par la maladie et les athlètes qui ne le sont pas? Comment la législation sportive peut-elle différencier les cas de maladie et les cas de dopage?
Les AUT sont des formes autorisées de dopage. L’IRBMS, Institut de recherche du bien être, de la médecine et du sport santé, définit les AUT comme «Des autorisations d’usage à des fins thérapeutiques [qui] permettent aux sportifs malades ou blessés d’utiliser sous certaines conditions des produits ou substances interdits.» Dès leur création en 2007, les AUT ont permis l’utilisation de certains produits dopants dans le but de maintenir et d’assurer la bonne santé des athlètes. Pour avoir un AUT, il y a de nombreux critères d’obtention. Même si les critères sont assez spécifiques, il est quand même possible pour les athlètes de trouver des moyens d’obtenir ces AUT sans avoir une maladie réelle. Avec l’aide d’un médecin, un athlète peut demander pour un AUT, l’obtenir, puis utiliser des produits illégaux pour améliorer ses performances. Les athlètes peuvent donc se doper, utiliser des produits illégaux, sans être contestés. De plus, il est impossible de différencier les AUT demandés par des athlètes dopés et les athlètes qui ne dopent pas.
Mais, comment la législation sportive peut-elle protéger la justice et l'égalité entre les athlètes?
Les AUT sont un des nombreux moyens que les athlètes utilisent pour se doper d’une manière plus ou moins «légale». Cependant, les AUT permettent l’utilisation de ces produits seulement pour des raisons thérapeutiques. Dans le cas du cyclisme, un grand nombre d'athlètes ont fait des AUT, en demandant la permission d'utiliser les inhalateurs qui seraient autrement interdits. Cette idée de restriction des produits dopants est souvent utilisée comme seule manière de lutter contre les produits dopants. Mais, comment peut-on différencier les athlètes qui sont véritablement affectés par la maladie et les athlètes qui ne le sont pas? Comment la législation sportive peut-elle différencier les cas de maladie et les cas de dopage?
Les AUT sont des formes autorisées de dopage. L’IRBMS, Institut de recherche du bien être, de la médecine et du sport santé, définit les AUT comme «Des autorisations d’usage à des fins thérapeutiques [qui] permettent aux sportifs malades ou blessés d’utiliser sous certaines conditions des produits ou substances interdits.» Dès leur création en 2007, les AUT ont permis l’utilisation de certains produits dopants dans le but de maintenir et d’assurer la bonne santé des athlètes. Pour avoir un AUT, il y a de nombreux critères d’obtention. Même si les critères sont assez spécifiques, il est quand même possible pour les athlètes de trouver des moyens d’obtenir ces AUT sans avoir une maladie réelle. Avec l’aide d’un médecin, un athlète peut demander pour un AUT, l’obtenir, puis utiliser des produits illégaux pour améliorer ses performances. Les athlètes peuvent donc se doper, utiliser des produits illégaux, sans être contestés. De plus, il est impossible de différencier les AUT demandés par des athlètes dopés et les athlètes qui ne dopent pas.
Mais, comment la législation sportive peut-elle protéger la justice et l'égalité entre les athlètes?
L’opinion de la société face au dopage:
Pour étudier comment la société perçoit l’usage de dopants pour les raisons de santé, nous avons créé un sondage, rempli par de nombreux individus variés. Comme vu en jaune, plus de la moitié des individus pense qu’un athlète qui utilise un médicament défini comme dopant pour des raisons de santé peut être considéré comme du dopage selon la situation, ce qui rendrait la création de règles préventives très difficile.
Puisqu’il n’y a pas de nombreuses choses que la législation sportive peut faire pour arrêter l’usage illégal de dopants, il ne s’agit plus d’un problème législatif, mais plus d’un problème d'intégrité morale.
Un athlète peut choisir soit de se doper, en considérant les risques et conséquences de ce choix, soit ils peuvent choisir de ne pas se doper et assumer leurs responsabilités en tant qu’athlètes professionnels. Puisque l’usage de dopants est possible sans conséquences, la question d'intégrité revient à l'athlète et ses décisions personnelles.
D'après un autre sondage que nous avons fait, la plupart de la population, si elle devait faire ce même choix, choisit de ne pas se doper. Mais, les personnes qui ont répondu à notre sondage n’ont pas été soumises aux mêmes conditions que les athlètes qui eux choisissent de doper. Par exemple, les cyclistes sont soumis à beaucoup de pression, ils doivent gagner pour assurer leur position dans des courses et pour pouvoir participer à d’autres compétitions. La nécessité et la volonté de gagner sont si pressantes que des athlètes fait tout ce qu’ils peuvent pour améliorer leurs chances d'être victorieux, le dopage inclu.
2. Le dopage dans le cyclisme
Comme montré dans la partie 1 qui décrit les effets des produits dopants variés, les dopants peuvent avoir de nombreux effets sur le corps d’un athlète. Les deux types de dopants les plus connus sont l’EPO (Érythropoïétine), qui sert à produire des globules rouges dans le sang, et les amphétamines, qui servent à stimuler le système nerveux d’un athlète. Il est inscrit dans la législation de nombreux sports compétitifs que ces produits dopants sont illégaux et leur usage pourrait être fortement pénalisé pour un athlète. Ceci implique que l’utilisation d’une AUT est fort favorable pour un athlète dopé.
De nombreux types d’inhalateurs permettent aux individus atteints d’asthme d'éviter des crises, de soulager leurs symptômes et d'améliorer leur statut physique. En 2004, des scientifiques spécialisés dans le sport ont fait des expériences pour savoir si les inhalateurs asthmatiques pouvaient avoir des effets sur la performance d’un cycliste. Pour faire ceci, les scientifiques ont chronométré des cyclistes sur une piste lors d’utilisation d’inhalateurs et sans inhalateurs. Les résultats ont permis de savoir que l’utilisation des inhalateurs, lors d’une course de courte distance, n’a pas perturbé la performance des cyclistes. En effet, les inhalateurs n’ont pas modifié la capacité musculaire des athlètes, ils ont seulement modifié leur capacité respiratoire. Ceci explique pourquoi les inhalateurs pourraient être un plus grand problème lors de compétition extensive de cyclisme, par exemple dans le Tour de France. Le Tour de France, étant une compétition de cyclisme qui dure 23 jours pendant lesquels les athlètes parcourent 3,500 km, met à l'épreuve les vraies capacités physiques d’un athlète. C’est durant de longues courses comme celles-là que les inhalateurs pourraient avoir un plus grand effet sur la performance. Il est dit que plus de 50% de ces cyclistes utilisent les inhalateurs, montrant une grande présence soit de l’asthme, soit d'athlètes dopés n’ayant pas de maladie respiratoire.
Mais, quelle est la raison de la présence de cette maladie chez les cyclistes? Sachant que les inhalateurs pourraient être utilisés comme un dopant pour améliorer la respiration pendant des longues courses, il est possible que de nombreux athlètes se dopent sans conséquences légales. Ceci dit, d'après des experts sportifs, la grande présence de cette maladie chez les athlètes pourrait aussi être due aux effets négatifs de la pratique de sport d’endurance de haut niveau. Lors de cette pratique, les voix respiratoires et plus précisément les bronches subissent des mouvements irréguliers, entraînant la formation d’une maladie respiratoire plus probable. Les cyclistes pourraient donc avoir une maladie asthmatique induite par le sport. En effet, cette maladie est très fréquente chez les cyclistes, ou du moins, de nombreux cyclistes déclarent qu’ils l’ont. Mais si tous les athlètes ont besoin des inhalateurs pour une maladie commune, dans quelle mesure peuvent-ils être considérés comme dopés? De plus, si cette maladie est si répandue, peut-elle être définie comme une maladie véritable, ou simplement une condition humaine fréquente chez les sportifs.
De nombreux types d’inhalateurs permettent aux individus atteints d’asthme d'éviter des crises, de soulager leurs symptômes et d'améliorer leur statut physique. En 2004, des scientifiques spécialisés dans le sport ont fait des expériences pour savoir si les inhalateurs asthmatiques pouvaient avoir des effets sur la performance d’un cycliste. Pour faire ceci, les scientifiques ont chronométré des cyclistes sur une piste lors d’utilisation d’inhalateurs et sans inhalateurs. Les résultats ont permis de savoir que l’utilisation des inhalateurs, lors d’une course de courte distance, n’a pas perturbé la performance des cyclistes. En effet, les inhalateurs n’ont pas modifié la capacité musculaire des athlètes, ils ont seulement modifié leur capacité respiratoire. Ceci explique pourquoi les inhalateurs pourraient être un plus grand problème lors de compétition extensive de cyclisme, par exemple dans le Tour de France. Le Tour de France, étant une compétition de cyclisme qui dure 23 jours pendant lesquels les athlètes parcourent 3,500 km, met à l'épreuve les vraies capacités physiques d’un athlète. C’est durant de longues courses comme celles-là que les inhalateurs pourraient avoir un plus grand effet sur la performance. Il est dit que plus de 50% de ces cyclistes utilisent les inhalateurs, montrant une grande présence soit de l’asthme, soit d'athlètes dopés n’ayant pas de maladie respiratoire.
Mais, quelle est la raison de la présence de cette maladie chez les cyclistes? Sachant que les inhalateurs pourraient être utilisés comme un dopant pour améliorer la respiration pendant des longues courses, il est possible que de nombreux athlètes se dopent sans conséquences légales. Ceci dit, d'après des experts sportifs, la grande présence de cette maladie chez les athlètes pourrait aussi être due aux effets négatifs de la pratique de sport d’endurance de haut niveau. Lors de cette pratique, les voix respiratoires et plus précisément les bronches subissent des mouvements irréguliers, entraînant la formation d’une maladie respiratoire plus probable. Les cyclistes pourraient donc avoir une maladie asthmatique induite par le sport. En effet, cette maladie est très fréquente chez les cyclistes, ou du moins, de nombreux cyclistes déclarent qu’ils l’ont. Mais si tous les athlètes ont besoin des inhalateurs pour une maladie commune, dans quelle mesure peuvent-ils être considérés comme dopés? De plus, si cette maladie est si répandue, peut-elle être définie comme une maladie véritable, ou simplement une condition humaine fréquente chez les sportifs.
Dans le cas des maladies respiratoires chez les cyclistes, il est aussi possible que des athlètes utilisent les AUT sans avoir de maladie pour avoir accès aux médicaments pouvant améliorer la performance. Subséquemment, l’AUT devient plus un problème moral et non un problème physique.