Lorsque le sportif cherche à améliorer sa performance en utilisant des produits dopants, il veut modifier le fonctionnement de certains organes vitaux tel que le cœur, le cerveau et les poumons dans le but d'avoir de meilleurs résultats. Un athlète qui souhaite augmenter ses capacités aérobiques, a besoin d'un apport en dioxygène important pour alimenter les muscles. Ainsi, les produits dopants vont agir sur le système cardiovasculaire afin d'accélérer le débit sanguin qui se dirige vers les muscles et organes, mais aussi le système respiratoire afin d'accroître les échanges gazeux entre l'organisme et l'environnement. D'ailleurs, les produits dopants vont aussi agir le système nerveux en accélérant la transmission de messages nerveux entre le cerveau, les muscles et les organes.
Les effets sur le système cardiovasculaire
Le système cardiovasculaire est composé du cœur et des vaisseaux sanguins, soit les artères, les veines et les capillaires sanguins. Ce système a pour fonction de distribuer du dioxygène aux organes et des nutriments indispensables à leur fonctionnement, grâce au débit sanguin, tout en éliminant les déchets comme le dioxyde de carbone. Les artères, depuis l’aorte (2,5 centimètres de diamètre) jusqu'aux petites artérioles (pas plus de 2 millimètres), conduisent le sang riche en dioxygène du cœur vers les organes. Ensuite, les capillaires, dits fins «comme des cheveux », assurent, à l'intérieur de chaque organe, la circulation du sang. Enfin, les veines ramènent au cœur le sang enrichi de dioxyde de carbone.
Les effets des stéroïdes anabolisants androgènes
La recherche sur l'utilisation des stéroïdes anabolisants n'a été effectuée que sur des animaux à cause d’une question d'éthique et des lois juridiques qui interdisent l’administration de ces produits dopants chez l’Homme. Les études existantes de l’usage de ces produits dopants sont des cas de sportifs qui ont pris des doses excessives de stéroïdes anabolisants androgènes.
Les études ont montré que la consommation de stéroïdes anabolisants androgènes entraîne une diminution importante du cholestérol HDL (High-density lipoprotein) et une augmentation du cholestérol LDL (Low-density lipoprotein).
Le cholestérol est une molécule lipidique appartenant à la famille des Stérols (sous-classe des stéroïdes) produite naturellement par l’organisme. Il joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de chaque cellule du corps.
Les HDL, appelé High-density lipoprotein, sont un groupe de substances créés pour transporter des matières grasses dans l’ensemble du corps. Les HDL sont souvent connus sous le nom de « bon cholestérol » car ils permettent de diriger le cholestérol des artères vers le foie pour ensuite s’éliminer du corps.
Les LDL, autrement connues sous le nom de Low-density lipoprotein, font partie des lipoprotéines produites par le corps pour transporter le cholestérol dans l’organisme. Le LDL est souvent considéré comme le « mauvais cholestérol » car à long terme, il peut s’accumuler sur les parois des artères. Ainsi, le risque de athérogénèse s'accroît chez ceux qui consomment des produits ayant la capacité d’augmenter le taux de LDL sérique et diminuer le taux de HDL sérique.
Les stéroïdes anabolisants, particulièrement les androgènes, peuvent augmenter la pression artérielle systolique, soit le moment où le cœur se contracte, et augmenter la pression artérielle diastolique entre deux contractions cardiaques.
Des études expérimentales sur des rats et des souris ont démontré que l'abus de stéroïdes anabolisants androgènes entraîne une hypertrophie du muscle et une accumulation de collagène dans le myocarde. Ces produits dopants provoquent aussi une hypertrophie du myocarde, une destruction des mitochondries, des cellules musculaires du cœur et la manière dont il se contracte. Les études post-mortem des athlètes qui ont utilisé des stéroïdes anabolisants androgènes en fortes doses ont pu confirmer les résultats obtenus des études expérimentales chez les animaux car ils présentaient les mêmes symptômes. Les stéroïdes accroissent le risque d’athérosclérose où des athéromes, c'est-à-dire un dépôt de graisse, sang, tissu fibreux et cholestérol, se forment sur les parois des artères. Puisque le sang peut être porteur de ce dépôt, ceci crée le risque que ce dernier bloque la circulation sanguine dans les vaisseaux au niveau du cœur et provoque un arrêt cardiaque. Si ce dépôt se dépose au niveau du cerveau, cela peut engendrer un accident vasculaire cérébral.
Les études ont montré que la consommation de stéroïdes anabolisants androgènes entraîne une diminution importante du cholestérol HDL (High-density lipoprotein) et une augmentation du cholestérol LDL (Low-density lipoprotein).
Le cholestérol est une molécule lipidique appartenant à la famille des Stérols (sous-classe des stéroïdes) produite naturellement par l’organisme. Il joue un rôle essentiel dans le fonctionnement de chaque cellule du corps.
Les HDL, appelé High-density lipoprotein, sont un groupe de substances créés pour transporter des matières grasses dans l’ensemble du corps. Les HDL sont souvent connus sous le nom de « bon cholestérol » car ils permettent de diriger le cholestérol des artères vers le foie pour ensuite s’éliminer du corps.
Les LDL, autrement connues sous le nom de Low-density lipoprotein, font partie des lipoprotéines produites par le corps pour transporter le cholestérol dans l’organisme. Le LDL est souvent considéré comme le « mauvais cholestérol » car à long terme, il peut s’accumuler sur les parois des artères. Ainsi, le risque de athérogénèse s'accroît chez ceux qui consomment des produits ayant la capacité d’augmenter le taux de LDL sérique et diminuer le taux de HDL sérique.
Les stéroïdes anabolisants, particulièrement les androgènes, peuvent augmenter la pression artérielle systolique, soit le moment où le cœur se contracte, et augmenter la pression artérielle diastolique entre deux contractions cardiaques.
Des études expérimentales sur des rats et des souris ont démontré que l'abus de stéroïdes anabolisants androgènes entraîne une hypertrophie du muscle et une accumulation de collagène dans le myocarde. Ces produits dopants provoquent aussi une hypertrophie du myocarde, une destruction des mitochondries, des cellules musculaires du cœur et la manière dont il se contracte. Les études post-mortem des athlètes qui ont utilisé des stéroïdes anabolisants androgènes en fortes doses ont pu confirmer les résultats obtenus des études expérimentales chez les animaux car ils présentaient les mêmes symptômes. Les stéroïdes accroissent le risque d’athérosclérose où des athéromes, c'est-à-dire un dépôt de graisse, sang, tissu fibreux et cholestérol, se forment sur les parois des artères. Puisque le sang peut être porteur de ce dépôt, ceci crée le risque que ce dernier bloque la circulation sanguine dans les vaisseaux au niveau du cœur et provoque un arrêt cardiaque. Si ce dépôt se dépose au niveau du cerveau, cela peut engendrer un accident vasculaire cérébral.
En somme, ces effets sur le fonctionnement du système cardiovasculaire peuvent provoquer des maladies qui peuvent être pathologiques telles que les suivantes:
- L’infarctus du myocarde qui correspond à une destruction, également connu sous le nom de nécrose, plus ou moins étendue du muscle cardiaque au niveau du myocarde (D’après www.sante.lefigaro.fr/sante/maladie/infarctus-myocarde/definition).
- La thrombose qui se caractérise par la formation d'un caillot, appelé thrombus, dans un vaisseau sanguin. Cet agglomérat visqueux peut se former dans une veine, c'est alors une thrombose veineuse, ou dans une artère, appelé la thrombose artérielle, et obstruer la circulation sanguine.
- Des troubles du rythme cardiaque à long terme
- Des cardiomyopathies qui regroupent plusieurs maladies différentes qui atteignent et affaiblissent le myocarde, le moteur musculaire du cœur. Le dysfonctionnement de ce muscle gêne alors l'aptitude du cœur à transmettre du sang vers le reste du corps.
- L’hypertension artérielle qui se définit comme une augmentation anormale de la pression du sang sur la paroi des artères.
- Un accident vasculaire cérébral
Les effets des amphétamines
Parce que ce sont des stimulants, les amphétamines augmentent la fréquence cardiaque et la pression artérielle. La pression artérielle et la fréquence cardiaque reviennent à normale lorsque la consommation de ce produit dopant est arrêtée. Mais chez la personne atteinte d'un problème cardiaque préexistant, l'utilisation d'amphétamines peut être grave ou même fatal.
Les amphétamines provoquent la vasoconstriction, soit la réduction du diamètre des vaisseaux à cause de la contraction des fibres musculaires. Ce phénomène naturel est intensifié par la consommation d’amphétamines qui, avec la diminution du diamètre des vaisseaux et de la régulation du débit sanguin, provoque une augmentation rapide de la pression artérielle et du cycle cardiaque (d’après www.vulgaris-medical.com). Les principales conséquences de la consommation d’amphétamines sont une hypertension artérielle, une arythmie cardiaque, un infarctus aigu du myocarde, et un choc cardiogénique.
Les amphétamines provoquent la vasoconstriction, soit la réduction du diamètre des vaisseaux à cause de la contraction des fibres musculaires. Ce phénomène naturel est intensifié par la consommation d’amphétamines qui, avec la diminution du diamètre des vaisseaux et de la régulation du débit sanguin, provoque une augmentation rapide de la pression artérielle et du cycle cardiaque (d’après www.vulgaris-medical.com). Les principales conséquences de la consommation d’amphétamines sont une hypertension artérielle, une arythmie cardiaque, un infarctus aigu du myocarde, et un choc cardiogénique.
Les effets de l’érythropoïétine (EPO)
On injecte des cellules porteuses du gène codant pour l’érythropoïétine. Le corps se met à produire une quantité supplémentaire d’érythropoïétine. Ainsi l’athlète dopé a un taux plus élevé d’érythropoïétine qu’un organisme normal. Ceci est plus avantageux pour le dopé car l'érythropoïétine (EPO) est une hormone qui stimule la production et la croissance des globules rouges dans le sang. L’érythropoïétine a un effet vasoconstricteur sur la paroi artérielle car elle augmente la pression du sang et rend la circulation sanguine plus rapide. De plus, il se produit une hyperviscosité, soit l’augmentation anormale de la viscosité du sang et une production élevée de thromboses. La consommation d’EPO peut causer des hypertrophies ventriculaires, et des lésions focalisées de nécrose et de fibrose. L'hypertrophie ventriculaire correspond à une augmentation des cavités du cœur. Une nécrose se définit comme « l'arrêt prématuré et non programmé du fonctionnement d'une ou de plusieurs cellules d'un tissu du corps humain » (d'après www.sante-medecine.journaldesfemmes.com). La fibrose correspond à une « augmentation pathologique du tissu conjonctif d'un organe » (d'après www.larousse.fr/). À court terme, l’épaississement du sang augmente le risque de formation de caillots sanguins, donc le risque de thromboses et d’attaques vasculaires cérébrales. Ceci oblige les sportifs dopés à prendre de l'aspirine ou des anticoagulants pour fluidifier le sang. À long terme, l'EPO entraîne des risques d'hypertension artérielle, de cancer de la moelle osseuse, des cardiomyopathies et des phlébites. Les phlébites correspondent à la formation d'un caillot sanguin, soit un thrombus, qui surgissent au niveau des veines et nuisent à la circulation sanguine.
Les effets sur le système nerveux
Le système nerveux humain est responsable de l'envoi, de la réception et du traitement des messages nerveux. Il contrôle le fonctionnement et les actions de toutes les parties du corps, ainsi que la pensée, les émotions et la mémoire. On distingue le système nerveux central et le système nerveux périphérique. Le système nerveux central est composé de l'encéphale (cerveau, cervelet et tronc cérébral) et de la moëlle épinière. Le système nerveux périphérique est constitué des nerfs et des ganglions à l’extérieur du système nerveux central.
Les effets des stéroïdes anabolisants androgènes
Les stéroïdes anabolisants androgènes affectent les systèmes neurotransmetteurs de la sérotonine et de la dopamine qui jouent un rôle décisif dans le cerveau. La dopamine est un neurotransmetteur multifonctionnel qui participe à la régulation du mouvement, de l'apprentissage, des émotions, de l'appétit, des effets de renforcement positif et de stimulus agréable. Il s'agit d'un neurotransmetteur qui conduit à la toxicomanie en cas de consommation. La sérotonine, elle, régule les habitudes de sommeil, le mouvement, l'appétit, la sexualité et les émotions. Elle est également liée aux opérations de mémoire et à la concentration durable.
Les stéroïdes anabolisants androgènes peuvent entraîner des changements irréversibles du système nerveux. La libération de neurotransmetteurs diminue quand la présence de stéroïdes anabolisants androgènes est détectée par le cerveau. Les anabolisants peuvent affecter l'hypothalamus et la région limbique du cerveau qui contrôlent la mémoire, la pression artérielle, les émotions et les organes reproducteurs. Une consommation excessive peut nuire à un certain nombre d'organes et ses fonctions, engendrant des maladies à la fois physiques et psychologiques.
Les stéroïdes anabolisants peuvent déclencher un comportement agressif chez certaines personnes. Quand un individu abuse de ces produits dopants et cesse d'en utiliser, il peut devenir déprimé, voir suicidaire. En effet, un grand nombre de ces symptômes affectent le fonctionnement du corps même après l'arrêt de l'utilisation de ces produits.
Les stéroïdes anabolisants androgènes peuvent entraîner des changements irréversibles du système nerveux. La libération de neurotransmetteurs diminue quand la présence de stéroïdes anabolisants androgènes est détectée par le cerveau. Les anabolisants peuvent affecter l'hypothalamus et la région limbique du cerveau qui contrôlent la mémoire, la pression artérielle, les émotions et les organes reproducteurs. Une consommation excessive peut nuire à un certain nombre d'organes et ses fonctions, engendrant des maladies à la fois physiques et psychologiques.
Les stéroïdes anabolisants peuvent déclencher un comportement agressif chez certaines personnes. Quand un individu abuse de ces produits dopants et cesse d'en utiliser, il peut devenir déprimé, voir suicidaire. En effet, un grand nombre de ces symptômes affectent le fonctionnement du corps même après l'arrêt de l'utilisation de ces produits.
Les effets des amphétamines
Les amphétamines sont des stimulants censés accélérer les messages circulant entre le cerveau et le corps. Elles augmentent la concentration de dopamine dans la fente synaptique, en réduisant le recaptage de ce neurotransmetteur et en excitant les neurones sensibles à ce dernier. Les amphétamines ont une structure similaire en partie à la dopamine, et peuvent donc entrer dans les vésicules du neurone présynaptique puis diffuser dans la membrane neuronale. Lorsque les amphétamines sont utilisées, les neurotransmetteurs dopamine et norépinephrine sont libérés au niveau des terminaisons nerveuses dans le cerveau. Cet afflux provoque l'accumulation de neurotransmetteurs au niveau des synapses cérébrales. Une fois à l'intérieur du neurone présynaptique, les amphétamines forcent les molécules de dopamine hors de leurs vésicules de stockage et les expulsent dans la fente synaptique. De plus, elles bloquent la réabsorption de la dopamine, arrêtent son stockage dans les vésicules et sa destruction par les enzymes (protéine fabriquée par l'organisme qui permet l'activation ou l'accélération de réactions chimiques).
Lorsque les cellules nerveuses dans le cerveau et la moëlle épinière sont activées par l'amphétamine, la concentration mentale, la capacité à rester éveillé, et la capacité à se concentrer sont améliorées, ce qui est utile pour les personnes atteintes de troubles de l'hyperactivité ou la narcolepsie.
Les toxicomanes aux amphétamines éprouvent des effets secondaires comme l’accoutumance, la dépendance physique et la dépendance psychologique. L'accoutumance a lieu quand l'organisme s'adapte et tolère la consommation de ces produits dopants. Le corps va s'habituer progressivement à la dose de substance chimique absorbée. Ainsi, les effets produits vont être de moins en moins intenses, et il faudra augmenter les doses pour obtenir le même effet qu’au départ. La dépendance physique se produit lorsque le sportif doit consommer des produits dopants plus fréquemment et en quantité plus abondante pour diminuer l’effet de manque. Cela est marquée par l'apparition, en cas d'arrêt de prise de drogue, de troubles physiologiques caractéristiques du syndrome d'abstinence tels que la sueur, les vomissements, des tremblements et des douleurs diverses. La dépendance psychologique est caractérisée par l'état de manque, c'est-à-dire une souffrance psychologique très difficile à supporter, liée au besoin irrépressible de reprendre régulièrement la substance chimique. Une forte consommation d’amphétamine pendant une longue période de temps fait que le cerveau s'adapte pour créer une sensation euphorique chez l’individu. Par conséquent, ce dernier va devoir prendre des doses plus élevées afin d'avoir le même effet à chaque fois. Ceci provoque une dépendance chez l’individu puisque le cerveau ne sera pas capable de fonctionner correctement sans l’usage de cette drogue. Les psychoses, se produisent également chez ceux qui abusent des amphétamines. Cette maladie comprend des hallucinations, la paranoïa et d'autres symptômes similaires à la schizophrénie. Ces symptômes peuvent prendre beaucoup de temps à se dissiper, même après que l'individu a cessé d'abuser de ce produit.
Lorsque les cellules nerveuses dans le cerveau et la moëlle épinière sont activées par l'amphétamine, la concentration mentale, la capacité à rester éveillé, et la capacité à se concentrer sont améliorées, ce qui est utile pour les personnes atteintes de troubles de l'hyperactivité ou la narcolepsie.
Les toxicomanes aux amphétamines éprouvent des effets secondaires comme l’accoutumance, la dépendance physique et la dépendance psychologique. L'accoutumance a lieu quand l'organisme s'adapte et tolère la consommation de ces produits dopants. Le corps va s'habituer progressivement à la dose de substance chimique absorbée. Ainsi, les effets produits vont être de moins en moins intenses, et il faudra augmenter les doses pour obtenir le même effet qu’au départ. La dépendance physique se produit lorsque le sportif doit consommer des produits dopants plus fréquemment et en quantité plus abondante pour diminuer l’effet de manque. Cela est marquée par l'apparition, en cas d'arrêt de prise de drogue, de troubles physiologiques caractéristiques du syndrome d'abstinence tels que la sueur, les vomissements, des tremblements et des douleurs diverses. La dépendance psychologique est caractérisée par l'état de manque, c'est-à-dire une souffrance psychologique très difficile à supporter, liée au besoin irrépressible de reprendre régulièrement la substance chimique. Une forte consommation d’amphétamine pendant une longue période de temps fait que le cerveau s'adapte pour créer une sensation euphorique chez l’individu. Par conséquent, ce dernier va devoir prendre des doses plus élevées afin d'avoir le même effet à chaque fois. Ceci provoque une dépendance chez l’individu puisque le cerveau ne sera pas capable de fonctionner correctement sans l’usage de cette drogue. Les psychoses, se produisent également chez ceux qui abusent des amphétamines. Cette maladie comprend des hallucinations, la paranoïa et d'autres symptômes similaires à la schizophrénie. Ces symptômes peuvent prendre beaucoup de temps à se dissiper, même après que l'individu a cessé d'abuser de ce produit.
Les effets de l’érythropoïétine (EPO)
Il n’y a pas beaucoup d’effets détectables, mais il y un apport de sang riche en dioxygène plus élevé sous l’effet de l’augmentation de globules rouges.
Les effets sur le sytème respiratoire
Le système respiratoire est l'ensemble des organes qui permettent la respiration. La respiration est la capacité que possède un organisme afin d'absorber le dioxygène (O2) et de rejeter le dioxyde de carbone (CO2). Chez l'être humain, la ventilation permet ce renouvellement gazeux au sein des alvéoles pulmonaires qui sont les zones d'échanges entre l'air et le sang. L'appareil respiratoire est composé des voies respiratoires et les poumons. Les voies respiratoires comportent des fosses nasales, la cavité buccale, le pharynx et le larynx, appelées les voies aériennes supérieures, puis, la trachée et les bronches. Le thorax, par sa cage osseuse, ses nerfs et ses muscles, participe aussi à son fonctionnement.
Les effets des stéroïdes anabolisants androgènes
La consommation de stéroïdes anabolisants androgènes entraîne un risque accru d’occurrence ou d’exacerbation des syndromes coïncidant à l'apnée du sommeil. En général, l’apnée du sommeil a lieu lorsque le débit d’air entrant dans les poumons pendant le sommeil diminue en volume ou arrête complètement. La situation devient pathologique dès que la pause respiratoire s'étend au-delà de dix secondes et que le processus est répété à plusieurs fois pendant la nuit. L’apnée du sommeil est dite «centrale» si elle est due à l’arrêt des mouvements respiratoires, et «obstructive» si elle est due à un rétrécissement des voies respiratoires supérieures. Les épisodes répétés d’obstruction sont associés à une diminution sévère de la quantité d'oxygène apportée aux organes par le sang et à une fragmentation du sommeil. Les symptômes sont les suivants : céphalées (maux de tête) au réveil, fatigue et, dans les cas les plus graves, une insuffisance respiratoire. L’apnée du sommeil est une cause courante de ronflements, de sommeil diurne et de troubles des performances cognitives. Les stéroïdes anabolisants androgènes provoquent une augmentation du volume de dioxygène apporté aux organes car les voies aériennes supérieures se ferment et s’ouvrent car et une réduction des dimensions de l’oropharynx (partie du pharynx reliée à la bouche), notamment chez la femme.
Les effets des amphétamines
Les athlètes qui consomment une grande quantité d’amphétamines éprouvent des difficultés à respirer. Les amphétamines aggravent l’asthme, la bronchite et l’œdème pulmonaire. L'asthme correspond à un trouble respiratoire chronique caractérisé par une constriction des voies respiratoires, entraînant chez l'individu des difficultés à respirer (d'après www.futura-sciences.com). La bronchite provoque une inflammation des bronches qui peut être aiguë ou chronique. L'individu peut ressentir une toux grasse et des muqueuses se former (d'après www.larousse.fr). Elle est due à une diminution du diamètre des bronchioles qui permettent le passage de l'air vers les poumons. L’œdème pulmonaire a lieu quand des liquides s'accumulent dans les poumons. Une hypertension pulmonaire est également signalée chez ceux qui consomment cette drogue pendant une longue période. L'hypertension pulmonaire est une maladie caractérisée par un rétrécissement des vaisseaux pulmonaires et une élévation de la pression à cause de cette obstruction. Le cœur, qui doit propulser le sang à travers les poumons, se fatigue progressivement en raison de cette élévation marquée de la pression des vaisseaux pulmonaires. Ces drogues permettent au consommateur d’être plus endurant sur une courte période. Ainsi la quantité maximale d’oxygène que l’organisme peut utiliser par unité de temps et la capacité aérobique du corps augmentent parce que les bronches se dilatent. En effet, un athlète utilisant des amphétamines a une fréquence respiratoire plus élevée qu’un corps humain qui, au repos, respire entre 12 et 15 fois par minute.
Les effets de l’érythropoïétine (EPO)
L'érythropoïétine de synthèse stimule la production de globules rouges, ce qui augmente l'apport en oxygène des poumons vers les muscles actifs. Cela permet aux athlètes d'avoir plus de force et d'améliorer leur performance. En effet, un érythrocyte, ou une globule rouge, est typiquement un disque biconcave sans un noyau. Ils assurent le transport du dioxygène et du dioxyde de carbone. De plus, ils doivent leur capacité à transporter l'oxygène à l'hémoglobine qui est une combinaison d'un groupe prothétique contenant du fer (hème) avec une protéine (globine) responsable de sa couleur rouge. L'hémoglobine attire et forme ainsi une connexion avec l'oxygène libre. Cet échange de gaz se produit dans les poumons entre les alvéoles et un réseau de petits vaisseaux sanguins appelés capillaires qui sont situés dans les parois des alvéoles.
Une transfusion d’érythropoïétine peut rendre le sang plus visqueux et nuire à la circulation sanguine au niveau des poumons. Ainsi, l’utilisateur peut être atteint d’hypertension pulmonaire lorsque les vaisseaux sanguins dans les poumons sont bloqués. Le côté droit du cœur doit travailler davantage pour assurer la circulation sanguine dans les poumons sous l’effet de la pression qui augmente. Au fil du temps, la maladie peut causer des altérations graves aux poumons, au cœur et aux artères, et augmenter le risque de caillots sanguins dans les poumons.
Une transfusion d’érythropoïétine peut rendre le sang plus visqueux et nuire à la circulation sanguine au niveau des poumons. Ainsi, l’utilisateur peut être atteint d’hypertension pulmonaire lorsque les vaisseaux sanguins dans les poumons sont bloqués. Le côté droit du cœur doit travailler davantage pour assurer la circulation sanguine dans les poumons sous l’effet de la pression qui augmente. Au fil du temps, la maladie peut causer des altérations graves aux poumons, au cœur et aux artères, et augmenter le risque de caillots sanguins dans les poumons.
Les produits dopants sont reconnus comme une cause majeure des changements dans le corps humain. Ces changements irréversibles dans le fonctionnent des organes vitaux peuvent conduire à des changements physiques qui ont un effet sur notre apparence, notre comportement et la façon dont nous exécutons certaines activités de tous les jours.